Esprit parc national franchit une nouvelle étape !  Avec le chocolat « péi » de Bitasyon Bio du Souffleur d’Arbonne, estampillé Esprit parc national - La Réunion, ce sont désormais 1 500 produits locaux et prestations touristiques qu’habitants et visiteurs des parcs nationaux de France peuvent choisir pour consommer plus durable. 

 

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Un chocolat made in* La Réunion 

L’histoire Esprit parc national a débuté en 2015 au Parc national des Cévennes. Elle se poursuit aujourd’hui dans les 11 parcs nationaux de France. 

Pour marquer le cap des 1 500 produits estampillés, partons au Parc national de La Réunion à la rencontre de Franck et de son chocolat produit en agroforesterie.

À Saint-Philippe, commune du Parc national de La Réunion, Franck cultive sur la ferme familiale de 7,5 hectares les produits traditionnels de La Réunion comme le curcuma, du palmiste (cœur de palmier), des fruits exotiques et du cacao. 

Il récolte et transforme le cacao avec un savoir-faire maîtrisé, de la cabosse aux tablettes de chocolat. 

Sa production est par ailleurs certifiée en Agriculture Biologique depuis 2006 et estampillée Esprit parc national - La Réunion depuis quelques semaines. 

Son chocolat « péi », de Bitasyon Bio du Souffleur d’Arbonne, est ainsi le 1500e produit à rejoindre notre démarche.

* Un chocolat produit à La Réunion 

Des pratiques durables en agroforesterie tropicale

Très engagé, Franck produit avec la nature selon les principes de la culture agroforestière tropicale : 

  • culture sous couvert forestier

  • fertilisation naturelle et adaptée, 

  • diversité végétale favorisant les espèces indigènes,

  • érosion limitée et irrigation réduite.

Autant de pratiques durables et vertueuses, témoins d’un savoir-faire maîtrisé. 

Franck souhaite aussi donner une impulsion nouvelle à son territoire : 

Pour moi, le chocolat à La Réunion devrait rester artisanal pour avoir une vraie plus-value. Si les associations et les agriculteurs sont intéressés pour produire du cacao, on pourrait avoir une belle production ici et créer un nouveau produit identitaire à La Réunion, témoigne Franck.